Le film d’horreur de la semaine : Animal avec Amaury Nolasco, le Sucre de PrisonBreak

Cette semaine on inaugure une toute nouvelle rubrique, simplement intitulé « le film d’horreur de la semaine », on est comme ça nous on va droit au but (contrairement au brésil Ah ah Eins Zwei Drei…Jusqu’à sieben, c’est gratuit c’est méchant mais ça fait plaisir). Bref, nous avons donc choisi  le film Animal réalisé par Brett Simmons (Husk pour ceux qui connaissent, pour les autres inutile de chercher). Allez on se lance…

L’histoire ? Elle est inexistante en plus d’être le parfait cliché du film d’horreur, un groupe d’amis dont certains sont en couple et d’autres se cherchent partent pour une randonnée dans les bois quand « soudain tout d’un coup d’une manière abrupte et soudaine » un monstre les attaque, mon dieu mais quelle histoire extraordinaire. Merci aux scénaristes Thommy Hutson et Catherine Trillo, car oui il faut être au moins deux pour écrire ça, pour se grand moment de cinéma. Et à votre avis la suite ? Nos intrépides amis trouvent une petite maison vétuste au milieu des bois dans laquelle ils vont pouvoir trouver refuge le temps de reprendre leurs esprits et trouver une solution à ce malheureux contre temps. Une chance pour eux, d’autres survivants ont déjà trouvé asile dans cet amas de bois dont le suave Amaury Nolasco (El portoricain Sucre de los prison breakos). Et là c’est le drame, la question existentielle devons nous fuir ou nous barricader le temps que des renforts arrivent ? That is the question !

 

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Vous l’aurez compris « Animal » ne brille pas de par sa trame scénaristique, pourtant le film n’est pas mauvais en soit, il est même plutôt bien réalisé et les acteurs jouent bien leurs rôles pour la plupart. Seulement voila tout est prévisible, à l’exception il faut l’avouer de l’ordre des morts et du ou des survivants, mais malgré ça on s’ennuie ferme. L’animal en question est tout bonnement ridicule et ne ressemble à rien, une touffe de poil ici et là, une tête entre le dindon et je ne sais quel autre animal, des bruits de cochon, bref totalement ridicule, il discrédite à lui seul l’ensemble du film (Ne vous fier pas à la jaquette).

Conclusion 09/20

A regarder vraiment si vous êtes un fan des séries B, C, D, E, F… et si vous n’avez rien d’autre à faire pendant 1h30. Et encore dans le même genre je vous conseille plutôt Feast de John Gulager sorti en 2005.

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