Exploration de Like a Dragon Gaiden : The Man Who Erased His Name, un plongeon dans l'âme Yakuza
Dévoilé le 8 novembre sur Steam, suivi du 9 novembre sur PlayStation 4, PlayStation 5, Xbox One, et Xbox Series, Like a Dragon Gaiden: The Man Who Erased His Name s’impose comme l’épilogue tant attendu de la saga Yakuza. Propulsé par le talent de Ryu Ga Gotoku Studio et édité par SEGA, cet opus embarque les joueurs dans une ultime aventure aux côtés du légendaire Dragon de Dojima, Kazuma Kiryu. Avant de plonger dans l’arène de ce jeu empreint de mystères, découvrons son essence et posons-nous quelques questions cruciales.
Histoire et continuité: Entre légende et renouveau
Like a Dragon Gaiden: The Man Who Erased His Name, souvent appelé « épisode 6.5, » se situe chronologiquement après les événements de Yakuza 6: The Song of Life, et se place comme un pont narratif vers le nouveau chapitre, Like a Dragon: Infinite Wealth. Notre protagoniste, Kazuma Kiryu, émerge d’une simulation de sa propre mort, renonçant à son identité, pour être enrôlé par un groupe gouvernemental. Sa mission : opérer dans l’ombre. Cependant, des forces obscures tentent de le dévoiler, jetant Kiryu dans une enquête qui le mènera à travers les rues de Sotenbori et Yokohama.
La dualité des postures: Entre agent et yakuza
L’affrontement dans les rues de Yokohama ne serait pas complet sans la maîtrise des postures d’Agent et de Yakuza par Kiryu. Dès les premières escarmouches, la posture d’Agent offre un arsenal de gadgets ingénieux, tandis que la posture de Yakuza débloque des combos légendaires. L’équilibre entre les deux est la clé, offrant une expérience de combat dynamique et addictive.
Réseau Akame: La vie cachée derrière les services
L’univers de Like a Dragon Gaiden s’étend bien au-delà des ruelles et des combats. Le réseau Akame offre une pléthore de quêtes secondaires, ou « Demandes, » où les citoyens sollicitent l’aide de Kiryu. En échange de services rendus, accumulez des points Akame pour débloquer des compétences et améliorer votre niveau de réseau. Ces missions secondaires, parfois déroutantes, contribuent à l’immersion dans un Japon contemporain regorgeant de surprises.
La vie de château: Du karaoké au colisée
Le jeu brille également par ses nombreuses activités annexes. Du karaoké nostalgique aux courses de voitures télécommandées personnalisables, en passant par le colisée offrant des combats solo, d’événements, et en équipe, chaque recoin de Yokohama déborde de divertissements. Un voyage vers le Château révèle des mini-jeux et des combats frénétiques, ajoutant une couche de variété appréciable à l’expérience globale.
L'héritage des Yakuza: Une histoire émouvante
La franchise Yakuza est réputée pour ses récits captivants, et Like a Dragon Gaiden ne fait pas exception. L’histoire de Kazuma Kiryu, bien que se situant après un moment tragique dans Yakuza 6, surprend par sa beauté, sa logique, et son impact émotionnel. Rythmé par des clins d’œil aux épisodes précédents, l’aventure de Kiryu résonne de manière bouleversante, confirmant la formule magique de Ryu Ga Gotoku Studio.
Le chapitre final d'une épopée inoubliable?
Like a Dragon Gaiden: The Man Who Erased His Name transcende son statut d’extension pour devenir un opus à part entière, prolongeant l’héritage de la franchise Yakuza. Avec son mélange d’action frénétique, de quêtes captivantes, et d’une histoire poignante, ce jeu s’érige comme une conclusion magistrale à la saga. Les fans seront ravis de retrouver l’univers unique de Yakuza, tandis que les nouveaux venus se laisseront emporter par une aventure riche en émotions.
Une question persiste: Like a Dragon Gaiden, nouveau chef-d'œuvre?
18/20
