Test des meilleurs personnages les plus emblématiques de jeux vidéos

Les gens ont souvent des difficultés à faire un classement en ce qui concerne les personnages les plus emblématiques des jeux vidéo. Et pour cause, on pourrait en citer une cinquantaine banalement, y compris Mario, Gordon Freeman, 8-Ball ou encore Master Chief de Halo. Mais on peut tous s’entendre pour dire que certains personnages sont si charismatiques et emblématiques qu’il serait odieux de dire qu’ils ne méritent pas d’avoir le premier rôle. Nous avons réussi à dresser une liste de quelques-uns de ces personnages de jeux vidéo qui ont été sélectionnés en fonction de certains critères bien précis.

Test des meilleurs personnages les plus emblématiques de jeux vidéos

Les personnages mystérieux

Toujours dans son costard cravate, Hitman fait partie de ces classiques qu’on ne présente plus. Il a été retenu dans cette liste pour son visage sans expression qui peut ne pas paraître du tout sympathique au départ. Mais on finit bien vite par s’y habituer et ça correspond si bien à son style bon-chic bon-genre. Vient ensuite son crâne rasé et le tatouage code barre qui lui donne un air super mystérieux. Son créateur aurait peut-être envisagé de le baptiser Mysterious Man avant de changer pour Hitman.

Toujours est-il qu’en plus de sa corde à piano, il vient en bonne position dans cette liste. Un autre personnage très emblématique qui apparaît dans cette catégorie des mystérieux est Gray Fox. Si vous ne le connaissez pas sachez que c’est un ninja cyborg. Et le moins qu’on puisse dire c’est que les ninjas ont généralement un énorme charisme. Gray Fox est donc un ninja qui possède un katana du futur dont il se sert pour bloquer les balles. Une sorte de Deadpool, mais en moins drôle. De plus, son exosquelette le rend pratiquement invincible.

On finira dans cette catégorie avec Garett de Dark Project et Altair d’Assassin’s Creed. Le premier est comme qui dirait l’ancêtre du second. Enfin, ils ne sont pas du même sang, mais Garett fait partie des premiers assassins apparus dans les jeux vidéo. Comme point commun, les deux héros sont planqués dans le noir la plupart du temps, et on ne voit pas grand-chose de leur visage. Niveau charisme, ils assurent avec leurs capes et des sauts acrobatiques impressionnants !

Les bad boys

Dans cette catégorie, on commence par Dante, mi-homme, mi-démon. Avec ses cheveux argentés et son manteau rouge, il est plutôt classe. Et il ne se prive pas pour le montrer en tapant la pose chaque fois qu’il en a l’occasion. Heureusement qu’il passe aussi son temps à mener la vie dure à tous les démons qu’il croise sur son chemin grâce à son épée et ses deux gros flingues.

Beaucoup de joueurs se souviennent sans doute de certaines scènes épiques comme lorsque Sepiroth disparaît dans un mur de flammes, cheveux au vent. Celui-là même qu’on connait dans Final Fantasy VII et qui n’a pas besoin de faire un rire machiavélique pur prouver qu’il est vil. Avec son énorme katana et son grand manteau style « Matrix », Sepiroth en jette et il mérite sans l’ombre d’un doute sa place dans ce classement. Un autre personnage de jeux vidéo qui a autant de charisme que lui est certainement Prince of Persia. Il a une sacrée présence à l’écran avec des yeux bleus déterminés et son côté très athlétique.

Si les personnages principaux sont bien souvent les chouchous des gamers, les gens ont parfois tendance à oublier les personnages qui jouent les meilleurs seconds rôles. Pourtant, certains scénarios n’auraient même aucun sens sans ceux-ci. Ce phénomène n’est pas seulement visible au niveau des jeux vidéo. En effet, le même cas s’observe aussi dans le milieu du cinéma ou de la musique.

Certains avis vont même jusqu’à dire qu’il y a certains personnages de seconds rôles qui méritent leur jeu. On pourrait par exemple citer Cole Train de Gears of War, Ellie de The Last of US, Garrus de Vakarian ou encore Alyx Vance de Half Life. Entre les personnages principaux et ceux qui jouent les seconds rôles, les créateurs s’évertuent généralement à faire une légère différence pour que les uns soient plus emblématiques que les autres. Mais parfois, ce n’est pas vraiment réussi.